Expertise Suzanne Belperron

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Suzanne Belperron (1900-1983) est l’une des premières femmes à rejoindre et à s’imposer dans le cercle très fermé et masculin de la joaillerie au XXème siècle. 

Dès sa plus tendre enfance, elle développe un véritable don pour le dessin.

À seize ans, elle assiste à des cours de décoration industrielle en lien avec l’orfèvrerie et la joaillerie.

Cette formation, lui vaut d’obtenir deux ans plus tard, le premier prix de dessin des arts décoratifs.

Cette réussite scolaire l’amène donc à Paris suivre les enseignements dispensés à l’École Nationale des Arts Décoratifs.

Durant ses classes, elle rencontre la fille de Jeanne Boivin, et à l’âge de vingt ans, Suzanne Belperron est embauchée par la prestigieuse Maison. 

Ce travail lui permet d’explorer ce qui l’a toujours inspiré et animé : les volutes des balcons en fer forgé, les dessins des sarcophages égyptiens et la couleur.

Ces sources d’inspiration multiples lui donnent l’occasion d’innover.

La jeune joaillière veut créer des bijoux faciles à porter au quotidien.

Elle emploie des pierres précieuses et semi-précieuses telles que la calcédoine ou le quartz.

Ses créations joaillières sont plus légères que le métal et plus souples pour un usage journalier. 

L'évolution de Suzanne Belperron :

En 1932, Suzanne Belperron quitte la Maison Boivin pour collaborer avec Bernard Herz (1877-1943), marchand de pierres qui lui laisse carte blanche dans ses ouvrages joailliers.

C’est à ce moment-là, qu’elle conçoit un sertissage invisible afin de rendre encore plus visibles les pierres sur le bijou comme les bijoux fleurs aux pétales ouverts.

Son œuvre rencontre un certain succès chez les familles royales et chez les grandes fortunes telles que la Duchesse de Windsor. 

À la fin de la guerre, elle s’associe avec Jean Herz, fils de Bernard Herz.

Tous deux fondent la Maison Jean Herz et Suzanne Belperron au 59 rue de Châteaudun, Paris IX.

À l’âge de soixante-treize ans, la créatrice joaillière arrête sa carrière et ferme définitivement les portes de sa Maison. 

L’esprit novateur et la technicité de ses bijoux anciens, font de Suzanne Belperron, l’une des maisons de joaillerie les plus recherchées par les collectionneurs sur le marché des ventes aux enchères avec un engouement qui ne cesse de croître.

Liste des modèles estimés :

  • Bracelet 
  • Bracelet-manchettes 
  • Broche
  • Broche « Fleur de Cachemire » 
  • Bague « Dôme » 
  • Bague « Toit »
  • Bague « Tourbillon »
  • Collier 
  • Collier Torque 
  • Collier « Égyptien »
  • Clip de Revers 
  • Clips d’Oreilles 
  • Clip « Fleur » 

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